segunda-feira, 24 de fevereiro de 2014

sexta-feira, 21 de fevereiro de 2014

Laudes de 6.ª Feira Santa em Canto Gregoriano em Português

Partituras:
Descarregai o PDF que inclui todas as orações cantadas, excepto a invocação Deus, vinde e o hino Insígnia triunfal, o qual encontrareis na 2ª página do livrete das Laudas de Sábado Santo.

Laudes de Sexta Feira Santa em Canto Gregoriano



Gravação:

É com grande alegria que partilhamos convosco a música que cantámos no Ofício de Laudes Solenes de Sexta-Feira Santa em Canto Gregoriano em Português, na Igreja de Nossa Senhora da Imaculada Conceição, Ferragudo, diocese do Algarve, a 19 de Abril de 2014, às 10 horas da manhã.

Um agradecimento especial a todos os intervenientes, em especial à Professora Teresa Feliciano e a todos os cantores e cantoras do Côro da Escola de Música de Santa Cecília de Ferragudo, ao Padre Miguel Ângelo e a todo o Pôvo que se fez presente.


Cronograma:
  • 0:00 silêncio antes da cerimónia
  • 1:40 explicação inicial pelo celebrante
  • 3:18 silêncio
  • 5:49 saudação inicial
  • 6:48 hino "insígnia triunfal"
  • 9:05 1ª antífona
  • 18:29 2ª antífona
  • 26:45 3ª antífona
  • 32:44 leitura
  • 36:14 responsório
  • 37:56 matraca
  • 39:30 antífona do Benedictus
  • 40:28 Benedictus do Padre José Maurício Nunes Garcia, CPM 14
  • 47:48 preces
  • 51:41 Pai-nosso
  • 53:17 oração final
  • 54:15 despedida do celebrante

domingo, 16 de fevereiro de 2014

Aviso de Curso «Adieu Alleluia - Journée d'études - 15 février 2014»

Pelo correio electrónico recebi aviso de curso de canto gregoriano que transcrevo abaixo. Os interessados em receber notícias futuras poderão interagir com a página Gregofacsimil no facebook.

Bonjour,
L'Equipe de Gregofacsimil est heureuse de vous convier à participer à sa première journée d'études, autour d'une Création: l'Office d'Adieu à l'Alleluia. De facture très ancienne, puisqu'il est attesté dans les plus anciens antiphonaires connus à ce jour, nous lui avons restitué sa forme primitive. Sous l'influence d'un décret du pape Alexandre Alexandre II (1061-1073) il disparaît peu à peu de la pratique. De nos jours, il ne survit qu'à l'état de traces, au rit romain dit extraordinaire, en conclusion des premières vêpres de la Septuagésime.
Pour participer à cette journée, téléchargez ici le prospectus :
http://gregofacsimil.free.fr/IMAGES/Brochure.pdf(Les inscriptions restent encore ouvertes !)
Cordialement,
Dominique Crochu
Dominique Gatté 
Aperçu des travaux préparatoires : 
Dans la tradition médiévale, les témoins de l'Office complet de l'Adieu à l'Alleluia sont en nombre relativement restreint. Par Office complet - et primitif - nous entendons les premières vêpres, les complies, les matines et les laudes. Les manuscrits de base ayant servi à la "restitution" sont Berlin 40047 (manuscrit de Quedlindburg, an 1018) de préférence à Hartker (Saint Gall 390-391) - et les sangalliens - moins archaïques dans leur transmission de cet Office... La photo suivante est tirée du ms de Quedlindburg, au f. 42v. Il s'agit du premier répons des matines: Alleluia! Dum præsens est: 
Les témoins suivants, Metz 83 et Metz 461 possèdent l'intégralité de l'Office, le premier de Saint Arnould (monastique), le second de la cathédrale. Nous avons fait le choix de suivre le cursus monastique, à douze répons, tandis que rit cathédral n'en possède que neuf. Nous continuons à vous proposer le même répons, selon Metz 83, au folio 72v: 

Un autre témoin de premier ordre est le manuscrit de Tolède, coté 44-1. Daté de la première partie du XIème, soit près d’un demi-siècle avant le décret du pape Alexandre II (autour de 1070, mais confirmant en réalité une décision de son prédécesseur Léon IX). L'Office d'Adieu y est donc toujours dans son intégralité, ce qui ne sera plus le cas pour le ms 44-2, daté de la seconde partie du XIème. L'extrait où figure notre répons Alleluia! Dum præsens est est situé au f. 47r: 

Nous continuons notre périple en revenant au Nord de la France avec l'Antiphonaire du Mont Renaud, Xème siècle, à une époque où l'on est certain de trouver, ici comme ailleurs, l'Office complet. Notons, pour la première fois, dans notre parcours, un choix différent de thème d'alleluia pour les trois première antiennes de laudes. Ce n'est plus la série "Quem vidisti/puer Jesus/Omnes sitientes", mais "Ecce nomen tuum/Si manseritis in me/Domine Deus Rex omnipotens". L'ensemble de la tradition se réaccordant, à Benedicite, sur l'ANT Benedicat terra Dominum" et sur les "laudes" (les psaumes 148 à 150). Notre répons habituel se trouve ici au fol 71r: 
Nous continuons logiquement notre description avec le manuscrit lat 17296, bien connu puisque, figurant sous le sigle C du Corpus Antiphonalium Officii (CAO), il désigne un manuscrit du XIIème siècle, en provenance de l'Abbaye de Saint Denis. On pourrait presque le qualifier de "Mont Renaud sur lignes" tant pour l'ordre des répons et du choix des thèmes d'antiennes de laudes ou d'invitatoire des matines (INV Christus natus est nobis). Les mélodies suivent très fidèlement la ligne neumatique de son aîné et l'on peut constater quelques glissements aux demi-ton supérieurs (un seul exemple: au répons Alleluia! Delectatio bona, à "divitiæ mulTÆ"). En dehors de ces situations bien ciblées, d'autres passages, en dehors de "l'Adieu", confirment ce lien très fort entre le Mont Renaud et St Denis... Notre répons se trouve au f. 85v: 

Le témoin suivant de la tradition de St Maur contient encore la totalité de l'Adieu, ce qui ne sera plus le cas du Ms 12044 de la BNF, issu de la même famille, mais écrit un siècle plus tard. Nous retrouvons la disposition liturgique de nos premières descriptions, à savoir celle du manuscrit de Quedlindburg, y compris les trois premières antiennes des laudes, affiliées au modèle "quem vidistis". 
La neumatique du lat 12584, moins fine que celle du Mont Renaud, révèle des notes bien plus attirées par les cordes fortes FA et DO que ce dernier (nous attirerons l'attention sur un seul exemple: au R. Multiplicentur anni tui, à "TUi", le pes d'articulation syllabique du Mont-Renaud (71v) est devenu un unisson à St Maur (Paris, BNF, Latin 12584, 265v) : 

Poursuivons notre inventaire des témoins de l'Office complet de l'Adieu en nous dirigeant vers le Nord de l'Italie. Nous commençons avec le ms Monza C 12/75, du Xème siècle, d'une écriture qui n'est pas sans rappeler la notation sangallienne ( plus précisément neumatique italo-sangallienne). Retenu parmi les douze témoins clés de la liste du CAO, il figure dans la liste de rit romain avec le sigle M. Il emprunte quasi à l'identique la liste et la ligne mélodique du ms de Quedlindburg (Berlin 40047), base de notre étude. Le répons Alleluia! Dum præsens est situé au f. 135r: 

Deux autres "membres romains" du CAO connaissent l'intégralité de l'Adieu. Le premier, dans l'ordre des sigles, le E, Ivrea 106. Comme le ms de Monza, nous avons à nouveau un témoin proche de la tradition de Quedlindburg, laudes comprises. Une petite originalité: placé en 10ème position, le R Signata est in thesauris meis est un répons rare, signalé pareillement par Vérone 106 (signe V du CAO). La base Cantusdatabase ne connaît pas d'autre témoin pour ce répons, que l'incipit du verset permet de discerner qu'il appartient au 7ème mode. Le répons Alleluia! Dum præsens est, que je ne présente plus, figure constamment en tête de l'Historia. Ici, selon l'étiquetage réalisé en 1905 par les moines de Solesmes, c'est au f. 26r : 
Pour voir la suite vous pouvez vous inscrire à notre page fb :
https://www.facebook.com/events/233860740119619/
Et pour approfondir cette étude, vous pouvez vous inscrire à notre journée de samedi :
http://gregofacsimil.free.fr/IMAGES/Brochure.pdf

sábado, 15 de fevereiro de 2014

Missa de S. Josemaría Escrivá de Balaguer, 26 de Junho


Introitus Gaudeámus, in Missa S. Iosephmariae Escriva de Balaguer, Presbyteri, 26 iunii.
Cântico de Entrada para a Missa do Santo Fundador do Opus Dei. Descarregai o PDF daqui.

O texto da antífona de entrada que encontrei para a solenidade do Padre (aqui) é Jeremias 3,15. Não conheço nenhum intróito gregoriano que use este texto. No entanto, o Graduale Romanum na página 531 (Proprium de Sanctis) prevê o seguinte:
In sollemnitatibus et festis, introitus Gaudeámus sempre cantari potest, si propria verba mysterii vel sancti celebrati facile in melodiam insereri possunt.
Que foi o que fiz. Na secção de cuius &c. coloquei sollemnitate para quando a Missa é celebrada solenemente (nos centros da Obra, etc.) e festivitate quando não. No versículo salmódico que vem depois da antífona coloquei o texto de Jeremias 3,15.

A notação é baseada na edição do Graduale Triplex, com os seguintes acrescentos da notação antiga:
  • linguetas na parte final dos neumas (podem estar virados para baixo, ou para cima) servem para pronunciar a articulação com a sílaba seguinte, p.ex. omnes, diem, cuius, etc.
  • episemas (traços verticais por cima ou por baixo dos neumas), aumentam a duração dessa nota, p.ex. celebrantes, Dei, etc. Os tt (tenere) por cima do tetragrama têm o mesmo valor.
  • Os cc (celeriter) querem dizer que a duração encurta. Os losangos pequenos também se cantam mais depressa.
  • Os losangos que parecem vírgulas (tristropha, p.ex. Amen) cantam-se como percussões (A-a-a-men).
  • Nos torculus initio debilis (omnes), que têm a 1ª perna mais débil, canta-se a 1ª nota mais depressa e com menos intensidade que as duas finais; ou então articula-se a consoante inicial da sílaba na 1ª nota.
  • O quilisma (nota tremida, Dei) canta-se mais depressa, ou tremulamente.

domingo, 9 de fevereiro de 2014

Introdução ao Canto Gregoriano, por Tiago Barófio

Programa semanal do 5º canal da Rádio Vaticana. Domingos às 21h30, hora de Roma, por um conhecido gregorianista italiano.


1º episódio, 1-2-2014
Ad Te Levavi - Porquê o gregoriano - A Palavra
- Do ministério do cantor litúrgico.
- Intróito Ad te levavi, da Missa do 1º Domingo do Advento
- Responsório Aspiciens a longe, das matinas do 1º Domingo do Advento
- Comunhão In splendoribus, da Missa do Galo




2º episódio, 11-2-2014
Nas origens do canto litúrgico - Cantilenação silábica - Salmodia
- O canto gregoriano é monódico? Parafonistas do 1º milénio.
- Caudas do intróito Ad te levavi
- A proclamação de Leituras (Toni Lectionum)
- A genealogia de Cristo
- Antífona Pueri hebraeorum, da Missa do Domingo de Ramos

 


3º episódio, 18-2-2014
Tradição e transmissão - O Canto Benaventano, Romano, Ambrosiano
- Kyrie do Ofício de Trevas, de tradição hebraica.
- Ofertório Angelus Domini em várias tradições
- Técnica vocal e transmissão geracional
- Transitório ambrosiano Te laudamus
- Laus magna angelorum / Gloria IV ad lib. more ambrosiano




4º episódio, 25-2-2014
Espaço e tempo par cantar - Antífonas
- Antífonas da Liturgia das Horas: chave cristológica dos salmos
- Semelhança entre Ex Egypto, Sion noli timere, & Querite Dominum.
- O b-mole
- Salmodia: asterisco e hemistíquios, entoação, tenor ou corda de recitação, cadência mediana, tenor, cadência final
- Canto facilitador da oração. Monotonia. Tonus peregrinus.
Conserva me Domine
- O quando in cruce, de Ravena
- O beata infantia




5º episódio, 4-3-2014
Acolhimento da Palavra - Responsórios
- Responsório: Reacção da Igreja a uma Leitura
- Estrutura do responsório: responso, verso, repetenda.
- Videbant omnes Stephanum
- Dum complerentur die Pentecostes
- Repleti sunt cordes
- Historiae, Officium rythmici




6º episódio, 11-3-2014
Fé + Fantasia = Poesia; Hinos
- Hinodia: origem ambrosiana, propagação benedictina
- Poesia contra a heresia, incentivo à conversão
- Hinos Veni redemptor gentium, Christe redemptor omnium, e Ut queant laxis, com que Guido d'Arezzo fundou o solfejo.
- As necessidades dos cantores: físicas e espirituais
- Hino paratérico: Unica spes hominum. O ritornelo processional.



7º episódio, 18-3-2014
Culmen et fons - Missa, Intróito e Comunhão
- A fé é o acolhimento da Palavra de Deus e a correspondência à vontade de Deus realizada nos pequenos actos da vida quotidiana. Só depois, no canto.
- Puer natus est, da Missa do Dia de Natal.
- Ecce advenit Dominator Dominus, da Missa da Epifania.
- O intróito canta-se na procissão desde a sacristia até ao altar, e por isso tem duração variável, em função das dimensões do templo, a velocidade dos celebrantes. Alternam-se antífona e versículos em número necessário para preencher o tempo do trajecto. No final, doxologia conclusiva do intróito: Gloria Patri.
Viri galilaei, da Missa da Ascensão. As novas edições, mais críticas.
- Comunhão: também processional.
Ecce virgo concipiet, da Missa do último Domingo do Advento.
- Cantate Domino, alleluia, da Missa da 3ª semana da Páscoa.




8º episódio, 25-3-2014
Centralidade da Palavra - Missa, Responsório Gradual
- Etimologia e espiritualidade do gradual responsorial.
- Universi qui te expectant, gradual do 1º Domingo do Advento.
- Christus factus est, gradual da Celebração da Paixão e responsório de Laudes do Tríduo Sacro.




9º episódio, 2-4-2014
A vida explode, o coração grita - Missa, Alleluia
- Etimologia e espiritualidade: Louvai a Deus!
- Estrutura: sílabas iniciais e melisma vocalizo final "jubilus"
- Particularidades das formas milanesas e hispânicas
- Al. Dies sanctificatus, da Missa do Dia de Natal
- Al. Pascha nostrum da Missa do Dia do Domingo de Páscoa
- Aleluia "tropado": Al. Eripe me, da 16ª semana do t.c.
- Aleluia escondido na Quaresma e substituído pelo Tracto




10º episódio, 8-4-2014
Recuperar o indizível - Missa, Tropos e Seqüências
- A sequência, originada no jubilus aleluiático, prolonga-o, com extraordinária mestria poética, teológica e espiritual.
- Poetas ilustres de São Galo. Seq. Sancti Spiritus por Notker.
- Adão de Paris. Os tropos na Reforma de Trento.
- Seq. Dies nobis laetabundus
- Espiritualidade do Kyrie eleison. Kyrie fons bonitatis.




11º episódio, 15-4-2014
A vida entra na liturgia, e a liturgia reaviva a vida - Cantos do Ordinário
- Kyrie cum jubilo. Os títulos dos ordinários
- Gloria in excelsis de origem ambrosiana
- Sanctus IX. Agnus Dei XVIII. Credo IV, canto frato.




12º episódio, 23-4-2014
Doar a minha pessoa antes de oferecer outras coisas - Missa, Ofertório
- O Ofertório é um canto responsorial, com pelo menos 2 versículos.
- Heterogeneidade nas repetendas. Origem histórica.
- Precatus est Moyses, ofert. do 18º Domº do T.C..
- Jubilate Deo universa terra, ofert. do 5º Domº da Páscoa.
- Anonimato. Influxo sírio. Canto-oração-caridade. Artur Bento Miguel-Ângelo.





Un pensiero di GIACOMO BAROFFIO per i VENTI ANNI DALLA MORTE DI ARTURO BENEDETTI MICHELANGELI (CG = Canto Gregoriano; ABM = Arturo Benedetti Michelangeli)

Dall’inizio degli anni ’80 – quando sono stato catapultato a Roma per insegnare canto gregoriano al PIMS – spesso mi è stato chiesto: “Quale disco mi consiglia di ascoltare per imparare a eseguire bene il CG?”.

La prima volta sono stato un po’ disorientato e ho iniziato a passare mentalmente in rassegna varie incisioni: Decca, Archiv … Ma presto ho voltato pagina e senza hesitation ho detto, ed è quanto ho in seguito sempre ripetuto e dico ancora oggi: “Per imparare a cantare il CG, il miglior maestro in assoluto è Arturo Benedetti Michelangeli!”. “Ma non è un pianista?”. “Che cosa importa? Imparate da lui il fraseggio, il senso che dà alla frase nella sua unità, il peso specifico che attribuisce a ogni singola nota. Basta ascoltare quando suona dei segmenti, anche brevi, di una scala. Le singole note sono tutte diverse l’una dalle altre. Esprimono una dinamica che è vita”.

All’inizio degli anni ’90 ho avuto una conferma della mia opinione. Parlando di CG e di ABM, il M° Facchinetti di Brescia mi ha rivelato quanto fino allora non sapevo. ABM gli aveva confidato una volta che amava il CG e si era ispirato al repertorio liturgico sino dalla sua giovinezza.

Il problema dell’interpretazione musicale è assai delicato. Ai dattilografi della tastiera – che macinano il massimo numero di note nel minor tempo possibile - e ai funamboli della voce – che volteggiano nei melismi impacciati in una grande confusione che annulla ogni armonia di movimento – ricordo che le note sono l’elemento necessario sì, ma totalmente insufficiente per creare la musica.
Senza un atto creativo dello spirito umano, animato dal Paraclito, ogni sforzo è vano. Per cantare il gregoriano occorre prima di tutto pregare. E la preghiera trasfigurerà le note. Come insegna ancora oggi il mistico Arturo.


13º episódio, 29-4-2014
O canto ao serviço da comunidade - Canto cisterciense, Edição Medicea, Solesmes
- Nomes para o canto gregoriano...
- Ofício rítmico de Santo Francisco, Santo António de Lisboa, Santa Clara, por Frei Juliano d'Aspira.
- Salve Regina solene, tropada.
- Edição Medicea, iniciada por João Pedro-Luís de Palestrina, com 1 tomo Temporal e outro Santoral. Escrúpulo histórico, ou a adaptação ao tempo.
- Intróito In nomine Iesu omne genu flectatur.




Laus Deo

domingo, 2 de fevereiro de 2014

Música própria do 25º Domingo do Tempo Comum / Hebdomada XXV per annum

Próprio autêntico completo (PDF)

Traduções para Português (GDrive)


1ª parte da emissão televisiva "A Dominga com o Papa Bento XVI", dedicada à espiritualidade deste Domingo:



2ª parte da mesma emissão, durante a qual os Cantori Gregoriani cantam o intróito Salus populi Ego sum, dicit Dominus e a antífona Mihi vivere Christus est com o salmo 66:



Intróito Salus populi, cantado pelo eslovaco:




Sôbre este intróito, escreveu o Tiago Barófio:




O gradual responsorial para esta Semana é o Dirigatur:



Aqui na versão portuguesa: Suba a minha oração.




Salmos responsoriais para as Missas feriais desta semana, no ano par: PDF
Salmo 89/90 em MP3.
Salmo 143 em MP3.


Alleluia Salus populi ego sum, aqui entoada pelo francês:




Partitura (PDF) do ofertório Si ambulávero in médio tribulatiónis, com versículo! Eis o refrão, aqui na voz do francês:


-



Comunhão Tu mandasti, aqui cantada pelo eslovaco:




Lêde o comentário de Tiago Barófio a esta comunhão (PDF).

Partituras e gravação de 22-9-2018
ĩt. Salus populi http://pemdatabase.eu/image/11215
al. Notum fecit Dominus http://pemdatabase.eu/image/2458
of. Si ambulavero http://pemdatabase.eu/image/496
cõ. Tu mandasti http://pemdatabase.eu/image/496
hỹ. Pãge lĩgua gloriosi
ãt. Salve Regĩa http://divinicultussanctitatem.blogspot.pt/2011/09/santa-missa-cantada-ao-domingo.html

Cânticos para Nossa Senhora das Dores, 15 de Setembro

Sequência Stabat Mater, aqui cantada pelo eslovaco:

Por favor comentai dando a vossa opinião ou identificando elos corrompidos.
Podeis escrever para:

capelagregorianaincarnationis@gmail.com

Print Desejo imprimir este artigo ou descarregar em formato PDF Adobe Reader

Esta ferramenta não lida bem com incrustrações do Sribd, Youtube, ou outras externas ao blog. Em alternativa podeis seleccionar o texto que quiserdes, e ordenar ao vosso navegador que imprima somente esse trecho.

PROCURAI NO BLOG